Les infrastructures routières, ferroviaires, portuaires et aéroportuaires du territoire de kabalo sont d’une manière générale dans un état de délabrement très avancé. Néanmoins en dépit du mauvais état de ces infrastructures, le territoire reste accessible par voie routière, ferroviaire, fluviale et aérienne.
Les routes d’intérêt nationales comptent 373 km en très mauvais état et les routes de desserte agricole 679 km en mauvais état.
Le territoire dispose 23 ponts principaux dont :
3 ponts métalliques (En ce qui concerne les 3 ponts métalliques, 1 seul est en mauvais état),
10 ponts en bois (tous sont en mauvais états.),
10 ponts en béton armé (tous sont en mauvais états.).
Le bief navigable du fleuve Congo qui traverse le territoire de Kabalo n’est long que de 650 km soit du territoire de Kongolo à Bukama, les deux axes du bief à l’intérieur desquels se trouve Kabalo, d’où les 2 principales destinations sur le fleuve : Kabalo-Kongolo et Kabalo-Bukama. Le trafic fluvial est très faible avec seulement 2 bateaux par an et à peu près 16 baleinières pour la même période.
Cette situation s’explique premièrement du fait de l’absence d’activités économiques dans le territoire, deuxièmement pour n’avoir pas été aménagé, le port de kabalo ne sert que de transit aux exploitants de ce bief navigable. 20 passagers par mois, il est assez faible avec plus ou moins 20 personnes au départ et 35 à l’arrivée. Pour le tonnage par mois, 5 Tonnes au départ et 9 à l’arrivée. Le territoire ne dispose que d’un seul aérodrome avec une piste en pelouse longue de 1.500 m.